Ciudad del Este et chutes d’Iguaçu
Après m’être posé une grosse semaine dans la capitale paraguayenne, je prends la direction de Ciudad del Este, où m’attend Andrea, ma super couch surfeuse, ainsi que de sacrées découvertes.
La première reste sans doute la ville elle-même. Marché de l’Amérique du Sud, Ciudad del Este attire quotidiennement brésiliens et argentins par milliers grâce aux bas prix et à la diversité de son offre. Des CD vierges aux préservatifs musicaux (que je n’ai malheureusement pas trouvé!!!!) en passant par toute la gammes d’appareils électroniques. Et forcément là où il ya du business, il y a des libanais!!! ça parlait donc un petit peu français dans les rues et les boutiques de la ville!
Le jour même de mon arrivée, en compagnie de 2 autres couch surfers (français et argentine), nous prenons la direction de Foz d’Iguaçu, bien connu pour ces célèbres chutes! Le “puente de la Amistad” sépare le Paraguay du Brésil, passant au-dessus du rio Parana. Nous le franchissons à pied, faisons les démarches d’immigration, prenons 2 bus et arrivons au parc d’Iguaçu. Le spectacle est à la hauteur de nos espérances. Des chutes par centaines, en plein milieu d’une végétation bien fournie et d’une faune omniprésente. Les photos trahissent parfaitement la splendeur des lieux!
Les chutes d’Iguaçu, côté argentin – Puerto Iguazu – ARGENTINE from Antonin CHABANNES on Vimeo.
Quelques soirées bien arrosées, sorties en boîte et baignades dans la piscine familiale plus tard, je me dirige, seul cette fois, vers Puerto Iguazu, le côté argentin des chutes. Si les contraintes administratives sont rébarbatives (obligation de passer par le Brésil pour aller en Argentine… no comment!!), le voyage vaut vraiment le coût. Les chutes sont encore plus spectaculaires de ce côté… Simplement magique!
Enfin, pour mon avant-dernier jour dans le pays, j’ai visité le plus important (en énergie produite) barrage hydroélectrique au monde, Itaipu (en Guarani, pierre qui chante). Impressionnant! Je vous invite d’ailleurs à consulter les statistiques extraordinaire de cette merveille de technologie inaugurée en 84: ITAIPU